Cette page présente la politique de confidentialité des données appliquée par l’atelier Icare.
Lors de votre inscription, l’atelier ne récolte que les informations utiles au travail au sein de l’atelier et à la navigation sur le site.
L’adresse IP de l’utilisateur est conservé de façon tout à fait anonyme — même lorsque l’icarien·ne est connecté·e — dans un fichier journal qui n’a pour but que le bon fonctionnement du site de l’atelier et le bon affichage des pages.
À tout moment l’icarienne ou l’icarien a la possibilité, sur la page de son profil, de modifier ces informations ou d’obtenir un nouveau mot de passe.
Lorsque l’on est icarien·ne, c’est pour la vie. L’icarien·ne peut profiter ad eternam des services de l’atelier, conserver son bureau intact, revoir son travail, consulter les documents du Quai des docs, les nouveaux comme les anciens, etc.
Pour ce faire, ses informations personnelles sont conservées ad eternam elles aussi. Tout icarien et toute icarienne a cependant la possibilité de détruire à tout moment son profil, sans requête, par simple confirmation sur sa page de profil.
L’atelier Icare garde une trace, à vie, des modules suivis par l’icarien ou l’icarienne ainsi que toutes les étapes suivies. Ces informations comprennent :
En aucun cas ces informations ne pourront être transmises à un tiers, quel qu’il soit.
L’icarien ou l’icarien pourra toujours trouver cette information dans la section Historique de son bureau.
À la destruction complète de son profil, ces informations deviennent anonyme et ne sont conservées qu’à titre statistique à l’usage exclusif de l’atelier.
Le Quai des docs est une ressource unique de l’atelier, qui joue un rôle intense et durable dans la pédagogie pratiquée et la vie de l’atelier. Il permet la consultation des milliers de documents produits au cours de la vie déjà longue de l’atelier (16 ans aujourd’hui 8 octobre 2024).
Bien sûr, chaque auteure et chaque auteur reste propriétaire à vie de son travail et il ou elle décide de le partager ou non. Un formulaire permet de décider du partage à appliquer à chaque document, original et commenté, dans la section documents du bureau.
Lorsque l’icarien ou l’icarienne quitte l’atelier — pour peu qu’il le quitte vraiment — ses documents restent consultables, pour une durée indéterminée. Il peut bien entendu faire la demande expresse de leur suppression, mais ce serait alors contraire à la philosophie de partage appliquée à l’atelier Icare, philosophie dont l’auteure ou l’auteur a certainement profité tout au long de son apprentissage en consultant les travaux des autres icariens et icariennes…
Des cotes — notes de 1 à 5 — peuvent être attribuées par les lecteurs — les autres icariens et icariennes — aux documents partagés sur le Quai des docs. Ces cotes permettent d’établir un classement subjectif des documents, par pertinence.
Ces cotes sont nominatives — l’identifiant de l’icarien-lecteur ou de l’icarienne-lectrice est consigné avec sa cote — mais cette information reste à l’usage strict de l’administration du site. L’icarien ou l’icarienne, même lorsqu’il ou elle est l’auteur ou l’auteure du document visé, ne peut avoir accès à cette information. Les cotes, par nature, restent donc strictement anonymes.
De même que les documents, ces cotes sont conservées à vie, même lorsque l’icarienne ou l’icarien quitte l’atelier définitivement — c’est-à-dire lorsqu’il détruit son inscription. Dans ce dernier cas, ses cotes deviennent anonymes, l’identifiant n’est plus associé à la cote.
Dans sa section belles réussites, l’atelier présente au jour le jour les réussites professionnelles des icarien·ne·s qui ont profité de l’apprentissage de l’atelier. Cet affichage se fait toujours avec l’accord implicite de l’icarien·ne lorsque c’est lui ou elle qui a communiqué l’information à l’administration de l’atelier ou Phil, ou par demande explicite lorsque cette information a été trouvée par l’administration de l’atelier.
Lorsque l’information existe, c’est le patronyme qui est utilisé pour l’annonce.
Quelle que soit la situation, l’icarien·ne a la possibilité, sur simple demande non argumentée, de supprimer l’information le ou la concernant, ou de la rendre anonyme en utilisant son pseudonyme plutôt que son patronyme.
C’est l’icarien ou l’icarienne qui détermine la nature et la fréquence de la communication qui peut lui être faite. Par défaut, l’icarien ou l’icarienne reçoit une information quotidienne sur l’avancée des travaux de ses condisciples, mais seulement s’il y a eu avancée. Dans les faits et une activité normale de l’atelier Icare, cette information peu intrusive correspond à deux ou trois mails par semaine (pour la rendre plus utile encore, elle est accompagnée d’une citation propre à l’écriture qui peut servir de source de méditation).
L’icarien·ne détermine également la nature de la communication avec le reste du monde, c’est-à-dire les autres icarien·ne·s ou les simples visiteurs. Pour chacun, l’icarien·ne peut accepter ou refuser d’être contacté·e par mail ou par “message de frigo”, une messagerie interne propre à l’atelier. Par défaut, l’administration seule — Phil inclus — peut contacter l’icarien ou l’icarienne par mail. Par défaut encore, seule l’administration et les autres icarien·ne·s peuvent établir un contact par la “porte du frigo”. Les simples visiteurs n’ont aucun moyen de contacter l’icarienne ou l’icarien sans son autorisation explicite.
Même lorsque le contact par mail est accepté, l’adresse mail de l’icarien·ne demeure cachée, le message du mail étant envoyé de façon transparente depuis le site, par la section “Contact”.
L’apprenti·e-auteur·e peut définir ou modifier à tout moment toutes ces informations dans la section Préférences de son bureau.
À noter qu’au sein de l’atelier Icare, cette communication est exclusivement informative. L’atelier revendiquant le fait de ne pas être une “épicerie”, il ne sera jamais émis de messages de promotion ou d’avantages de quelconque nature.
Les visiteurs quelconque ont la possibilité, lorsque l’icarien·ne l’autorise, de déposer un message sur le frigo d’un·e apprenti·e auteur·e. Pour ce faire, le visiteur doit laisser son adresse email afin de pouvoir être contacté par l’icarien·ne. Cette adresse n’est ni conservée ni transmise à un tiers, sous aucun prétexte. Elle est détruite sitôt que l’icarien·ne a répondu au-dit message ou l’a détruit.
L’atelier met à la disposition de l’icarien·ne et de l’utilisateur quelconque deux mini Foires Aux Questions qui permettent de poser des questions et d’en obtenir les réponses. Ces réponses sont ensuite accessibles à tout autre visiteur (sauf pour les questions concernant les étapes de travail). L’identifiant de l’icarien·ne est conservé avec la question qu’il a posée. Ici aussi, la destruction du profil entraine l’anonymatisation de la question.
Pour les questions concernant les modules d’apprentissage (section “Modules d’apprentissage”), il est demandé à l’utilisateur de fournir son adresse mail s’il veut être averti de la réponse faite à sa question. Cette adresse mail est conservée de façon provisoire et sera définitivement détruite, sans autre utilisation, dès l’avertissement envoyé par mail. L’utilisateur a également la possibilité de ne pas la soumettre, dans lequel cas il devra revisiter le site plus tard pour trouver une réponse à sa question.
Conformément à la loi, les factures ne sont conservées que pendant une durée de 6 ans.